Qui suis-je ?
BONJOUR ! JE SUIS MAEVA
Si les Océaniens étaient des descendants des Gaulois, ils auraient peur que le ciel leur tombe sur la tête, comme le chantait Henri Salvador ; mais voilà, ils sont Océaniens... Les noix de coco les menacent davantage que le ciel ! Ils se rassurent par cet adage qui veut qu'elles ne tombent que sur les imbéciles. Ils aiment rire de tout. Pour approfondir vos connaissances sur la Polynésie française et la Nouvelle-Calédonie, je vous propose, par mes récits déjantés, vous éviterez la lecture de thèses trop savantes pour dire vrai. Mon souhait, cher lecteur, soit certain que les noix de coco ne te tomberont pas sur la tête, car tu ne sera plus... un imbécile !
Avec toute mon affection !
Une autre Elena Ferrante, cette auteure italienne, connue uniquement sous ce pseudonyme depuis plus de vingt-cinq ans… Et je souhaite rester discrète sur mon identité le plus longtemps possible. Deux raisons à cela :
Issue d’une famille très connue sur le Fenua et le Caillou, je brocarde des personnalités que je côtoie régulièrement. Or, je suis soumise à l’obligation de réserve. Manquerais-je de courage ? NON, car…
Le pseudonyme a une vertu : aiguiser la curiosité et éviter les habituelles critiques du type « oui bien sûr, mais elle est mal placée pour dire ça ! ». En fait, grâce à mon « incognito », vous penserez rapidement que ce que j’écris, vous auriez aimé l’écrire. J’assume pour vous vos pensées profondes…
Mon objectif : ADIEU Tristesse et Tristes tropiques
En 1954, Françoise Sagan publiait Bonjour tristesse et en 1955, Claude Lévi-Strauss publiait Tristes tropiques. S’il faut toujours des auteures et auteurs pour mettre le public devant les réalités de la vie (je pense à Titaua Peu au Fenua) on doit aussi retrouver la gaité des peuples océaniens et leur sens de l’auto-dérision.
Ce ne sont pas de noirs tableaux qui changeront les comportements de la classe politique et de la société, mais l’humour et la caricature, surtout s’ils sont finalement empreints de tendresse ! Si grâce à ce blog, certaines et certains prennent conscience qu’elles sont ou qu’ils sont parfois ridicules, il leur faudra bien changer de comportement.
Je m’inscrirai dans la lignée d’Epeli Hau’ofa, le célèbre anthropologue fidjien d’origine tongienne, et de son livre audacieux Poutous sur le popotin.
De nos jours, seul l’humour est révolutionnaire ! Vive la lutte des claques !
Comment vous êtes-vous lancée dans l’écriture ?
"C’était un rêve qui remonte à mes années d’études. Les sujets que j’étudiais me passionnaient mais – de nature – j’essaie de tout regarder au second ou troisième degré. Il m’était apparu qu’on pouvait dire les mêmes choses que mes profs trop sérieux en les présentant autrement. Je notais des faits qui se déroulaient dans mon entourage, je sélectionnais des passages dans les livres que je lisais. Mon but ? Écrire quelque chose qui me ressemble : des textes enjoués, féroces et tendres tout à la fois. À vous de juger si j’y suis parvenue..."
Mon premier livre
Si les Océaniens étaient des descendants des Gaulois, ils auraient peur que le ciel leur tombe sur la tête, comme le chantait Henri Salvador ; mais voilà, ils sont Océaniens… Les noix de coco les menacent davantage que le ciel ! Ils se rassurent par cet adage qui veut qu’elles ne tombent que sur les imbéciles. Ils aiment rire de tout. Avec l’ouvrage de Maeva Takin, ils riront d’eux-mêmes.
C’est bien connu, les caricaturistes et les humoristes aiment les personnages et les sociétés dont ils se moquent. Maeva Takin n’échappe pas à la règle en révélant des personnages et des situations mieux que ne le feraient biographes, anthropologues, sociologues, juristes ou historiens…
Pour approfondir vos connaissances sur la Polynésie française et la Nouvelle-Calédonie, Maeva Takin, par ses récits déjantés, vous évitera la lecture de thèses trop savantes pour dire vrai.Quand il refermera le livre, le lecteur sera certain que les noix de coco ne lui tomberont pas sur la tête, car il ne sera plus… un imbécile !